Si le dessin est précis et léger, l’histoire est glauque de chez glauque : viols, crimes, tortures... On doit pouvoir aimer si comme Jean Teulé, on est fasciné par ce genre d’atmosphère assez sordide.
La préface de Jean Teulé ne ment pas, il s'agit d'un véritable chef d'oeuvre. Il prend aux tripes, on le dévore et une fois terminé un grand vide s'empare de vous