Alors qu'ils chevauchent vers une permission bien méritée, Blutch et Chesterfield assistent à l'assassinat de deux soldats sudistes par une troupe de brigands. Recueillant les dernières volontés de l'un des mourants, Chesterfield lui promet de ramener son médaillon à sa fiancée... C'est ainsi que nos deux amis – déguisés en Mexicains – se dirigent vers les territoires sudistes. Sans se douter qu'ils vont être pris pour les Confédérés décédés. Et découvrir que ces derniers faisaient partie d'un plan secret permettant de gagner de l'or. Beaucoup d'or. Assez pour que le Sud remporte la guerre... Souci supplémentaire : l'un des soldats les accompagnant pour récupérer le magot n'est autre que le fils d'un certain général Lee... Blutch et Chesterfield parviendront-ils à mettre la main sur le mythique trésor des sudistes ?Fred Neidhardt, à l'aise sur de nombreux registres, se glisse avec bonheur dans les bottes des Tuniques bleues, avec beaucoup d'humour et de culture. L'inépuisable Lambil est, comme toujours, impeccable.
Catégorie | BD |
Thèmes | Humour / Plus (...) |
Type | album simple |
Collection | - |
Auteurs | Willy LambilFred Neidhardt |
Editeur | Dupuis |
Tome | 68/68 |
Date de parution | 18 oct. 2024 |
ISBN/EAN | 9782808504188 |
Nombre de pages | 48 |
Poids | 364 gr |
Format | 21.8 x 29.9 x 1.1 cm |
Depuis maintenant pas mal d'années les albums des Tuniques Bleues sont très inégales. Mais celui-ci est une bonne pioche ! Les interactions entre Blutch et Chesterfield sont classiques mais continuent à faire sourire. Les nouveaux personnages sont intéressants et l'histoire tient la route.
Après le 67, que j’avais trouvé très très faible, j’avais décidé d’arrêter la série, mais difficile de Reynier tel référence à ses jeunes années. Je suis resté sur 2 étoiles en raison du dessin grossier, et que je trouve éloigné les albums les plus intéressants de cette série, mais le scénario (...) Voir le commentaire
Deux étoiles parce que, quand même, je n'allais pas en mettre une seul pour un triste "bof". Ce sont les tuniques bleues tout de même... Alors, il y a bien encore l'humour des échanges entre Blutch et Chesterfield mais on ne le retrouve pas vraiment dans le scénario (...) Voir le commentaire